PARDONNÉS ET PURIFIÉS…

Pardonnés et purifiés
Dieu a établi dans le ciel le vrai tabernacle, “qui n’est pas fait de main” (Hébreux 8. 2 ; 9. 11). Mais nous ne pouvons pas nous approcher de Dieu dans ce “vrai tabernacle” sans remplir deux conditions : avoir le cœur “par aspersion purifié d’une mauvaise conscience” et le corps “lavé d’eau pure”, selon les images de la consécration des sacrificateurs qui avaient accès au tabernacle terrestre (voir Exode 29). Dieu a ouvert le chemin au prix d’un sacrifice qui a une valeur infinie à ses yeux. Cette offrande a entièrement satisfait Dieu, mais en contrepartie, nous devons nous approcher de Dieu avec une conscience purifiée.
 Sommes-nous à l’aise dans la présence même de Dieu, dans les moments où notre âme réalise que nous avons affaire à un Dieu saint ? Suis-je inquiet en suivant ce chemin qui va jusque dans le lieu très saint ? Je ne devrais pas l’être !
 Dieu lui-même a ouvert l’accès jusque dans la lumière éclatante de sa présence, même pour le plus grand des pécheurs. Je découvre que Dieu, le Dieu saint, peut me regarder avec une parfaite satisfaction grâce à l’œuvre de son Fils à la croix. Devrais-je dire à ma conscience purifiée : Tu me trompes, Dieu ne peut pas agréer un pécheur tel que moi ? – Non, en aucune façon ! Dieu lui-même a pourvu au sacrifice et le Saint Esprit peut témoigner à mon égard que, bien que pécheur, je suis “agréable” en Christ (Éphésiens 1. 6). Je peux emprunter ce chemin nouveau et vivant. En y entrant, je me prosterne et j’adore sans trembler, rempli au contraire d’une pleine assurance.
 Les doutes à cet égard viennent de Satan. Que lui répondrons-nous ? Que notre accusateur se présente donc devant le Juge ! Quel argument Satan peut-il avancer contre des âmes purifiées par le sang de Christ ? Aucun ! Tout argument contre nous serait une accusation directe contre Dieu ! Il n’est pas question de couvrir le péché, ni de l’excuser, mais de répondre à chaque accusation : C’est vrai ! Mais Christ est mort, “le juste pour les injustes”, afin de m’amener à Dieu (1 Pierre 3. 18). Il a été puni à ma place et il est mort pour cela. – Dieu devrait-il punir une deuxième fois ? Non ! Je peux désormais dire avec assurance : Christ a porté mon péché sur la croix. Dieu m’a pardonné.

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

Laisser un commentaire