Adorer Dieu et l’Agneau
C’est ici la dernière doxologie de la Bible. Elle répond à une vision, celle d’une “grande foule que personne ne pouvait dénombrer, de toute nation et toutes tribus, peuples et langues” (v. 9). Ces gens innombrables, vêtus de longues robes blanches, se tiennent devant le trône et devant l’Agneau, criant : “Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l’Agneau” (v. 10).
Nous apprenons plus loin qu’ils ont été sauvés pendant la grande tribulation au milieu de toutes ses horreurs et ses souffrances. Nous voyons donc que Dieu sera encore un Dieu Sauveur, même dans les temps les plus sombres de l’apostasie, alors qu’en même temps, il jugera les humains dans le monde pour leurs iniquités !
Ce fait est tellement extraordinaire qu’il motive les anges et les Anciens – représentant les croyants rachetés et déjà enlevés au ciel – à s’exclamer “Amen !” Ils louent et glorifient Dieu de
chercher des adorateurs au milieu même de l’humanité pécheresse et déchue (voir Jean 4. 23). N’est-ce pas merveilleux ?
Qu’il s’agisse des croyants de l’Ancien Testament, de ceux qui composent l’Église actuellement, ou des croyants de l’avenir qui seront sauvés de la grande tribulation, tous ces adorateurs d’origines diverses ont quelque chose en commun : tous étaient des pécheurs perdus, et tous ont été lavés dans le sang de l’Agneau. Même les anges, qui ne sont pourtant pas bénéficiaires de ce régime de la grâce, adorent Dieu de sauver ainsi, à toutes les époques, des pécheurs perdus !
“La bénédiction, et la gloire, et la sagesse, et l’action de grâces, et l’honneur, et la puissance, et la
force, à notre Dieu, aux siècles des siècles ! Amen”. Sept expressions de louange et d’adoration composent cette ultime doxologie de la Bible.
2 Corinthiens 5 (BYM)
- C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !