LA PAROLE DE DIEU CONNUE ET MISE EN PRATIQUE…

La Parole de Dieu connue et mise en pratique
Josaphat a-t-il pensé que sa foi était une affaire tout à fait personnelle ? Qu’il ne fallait pas ennuyer les autres en leur parlant de ce qui lui tenait à cœur ? A-t-il estimé que la loi de Dieu n’était pas importante pour son peuple, vu que le pays était bien uni ? – Non, il a voulu que son peuple connaisse ce qu’il avait lui-même trouvé et compris en recherchant l’Éternel. Il a pris conscience que le peuple de Dieu ne pourrait être béni qu’en gardant les commandements de l’Éternel. Il a donc envoyé ses chefs dans les villes de Juda, avec des lévites et des sacrificateurs. Le but étant d’instruire le peuple, ils ont donc emporté avec eux le livre de la Loi, seul fondement de leur enseignement. Les représentants officiels du roi étaient là aussi, donnant du poids à ce qui était dit.
 Les paroles des lévites et des sacrificateurs ont-elles agi sur les cœurs des fils d’Israël, les habitants de Juda ? Ont-ils compris et mis en pratique le message de Dieu ? – La Bible dit seulement : “La frayeur de l’Éternel fut sur tous les royaumes des pays qui étaient autour de Juda, et ils ne firent pas la guerre à Josaphat” (2 Chroniques 17. 10). Quelle est la meilleure défense dans les combats de la foi ? C’est connaître la Parole de Dieu et la mettre en pratique. On peut remarquer qu’il n’est pas parlé de changement d’attitude parmi le peuple, mais parmi les ennemis. Ils ont eu peur et n’ont pas fait la guerre à Josaphat. Ils lui ont apporté “des présents et de l’argent comme tribut” (v. 11). Nous lisons aussi que le roi est devenu de plus en plus puissant (v. 12).
 Il est important pour nous de nous laisser instruire dans toute la pensée de Dieu et de marcher à cette lumière ; nous avons besoin d’écouter sa Parole et de lui obéir. C’est ainsi que nous croîtrons dans la connaissance du Seigneur et de sa volonté ; nous pourrons alors “marcher d’une manière digne du Seigneur afin de lui plaire à tous égards” (Colossiens 1. 10).

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

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