UNE NOUVELLE CITÉ ET UN NOUVEAU NOM…

Une nouvelle cité et un nouveau nom
Cette promesse fait suite à la première promesse adressée à la même assemblée, dont le témoignage fidèle au nom de Christ sur la terre sera récompensé au ciel. D’une certaine manière, ces promesses sont difficiles à comprendre parce qu’aujourd’hui nous ne voyons les choses célestes que comme “au travers d’un verre, obscurément” ; mais bientôt, nous verrons “face à face” (voir 1 Corinthiens 13. 12). Il nous est donné juste assez de renseignements au sujet du ciel pour faire vibrer notre cœur et le remplir d’espérance, mais notre compréhension est retenue à cause des limites de nos corps actuels (voir 2 Corinthiens 12. 2-4). Il ne nous est jamais parlé du ciel simplement pour satisfaire la curiosité de notre esprit, mais plutôt pour renforcer l’engagement de notre cœur.
 Parce que les vainqueurs ont confessé le nom de Christ sur la terre (1 Jean 5. 5), ils seront scellés du nom de Dieu et du nom de Christ dans la gloire. Il est merveilleux de voir ici l’association du nom de Christ avec le nom de Dieu – une indication claire que Jésus est une Personne divine, qu’il est égal au Père. L’insistance mise sur le mot
mon dans ce passage montre la gloire de Christ :
 – dans sa propre relation avec Dieu – “mon Dieu” ;
 – en relation avec l’Église dans son exposition publique dans la gloire, comme étant l’habitation de Dieu – “la cité de mon Dieu” ;
 – dans sa condition personnelle, étant glorifié comme Homme à la droite de Dieu – “auprès de mon Dieu”, “mon nouveau nom”.
 La cité de Dieu, la nouvelle Jérusalem, est mentionnée ici – le vainqueur a une espérance céleste, car il attend la cité “qui a les fondements, dont Dieu est l’architecte et le constructeur” (Hébreux 11. 10). C’est un fait bien connu que toutes les grandes religions du monde sont associées à une ville sur la terre – elles ont un
quartier général terrestre. Mais le vainqueur n’a pas de “cité permanente” sur la terre ; il recherche “celle qui est à venir”, dans le ciel (Hébreux 13. 14). Bénissons Dieu pour sa grâce et pour notre espérance céleste.

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

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