LA JOIE EN CHRIST, AUJOURD’HUI…

La joie en Christ, aujourd’hui
Le Père trouve tout son plaisir en Christ comme expression parfaite de son amour et nous pouvons partager sa joie. Quel Dieu ! Ne se contentant pas d’être lui-même lumière et amour dans sa propre gloire, il nous a procuré, dans son Fils, la lumière, l’amour et la gloire. En contraste avec les délices et les bénédictions de la communion avec lui là-haut, avons-nous conscience de la pauvreté de tout ce qui est ici-bas ?
 Sommes-nous réellement un peuple céleste ? Avons-nous des biens célestes en Christ ? Pourquoi repousser la joie du ciel à un jour futur ? Pourquoi ne pas commencer dès maintenant à vivre dans le ciel ? Dieu nous appelle à nous réjouir et à trouver notre joie en Christ dès à présent. Toutes les peines du désert ne peuvent pas être comparées avec la gloire de Christ. “Pour moi, vivre, c’est Christ” (Philippiens 1. 21), que je puisse le dire en vérité ! Et que mon désir soit de me consacrer entièrement à la gloire de Christ, profitant de tout comme d’une occasion de le glorifier.
 Si j’ai le cœur brisé, qu’importe, si j’ai Christ ? C’est dans ces circonstances qu’il manifeste plus particulièrement son amour (voir Ésaïe 66. 2). Son cœur prendra soin de moi comme aucune mère ne pourrait le faire pour son enfant. Il connaît tous les battements de mon cœur, et il sait parfaitement comment me donner du repos et une paix qui dépassent toute compréhension. Et si je suis brisé(e) petit à petit, c’est seulement pour me former pour la place qu’il a préparée pour moi.
 Pour le cœur qui se repose dans l’amour de Christ, il y a une paix divine, un repos parfait que Satan ne peut pas ébranler. Tu seras étonné(e) de la paix que tu éprouves ; tu seras rendu(e) capable de dire, à propos de choses qui détruisent les plus chères espérances de ton cœur : J’en remercie Dieu.

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

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