CONFIANCE EN DIEU…

Confiance en Dieu
Je pense aux jeunes qui souffrent d’une maladie ou d’une infirmité, d’une contrariété pénible ou de quelque autre épreuve douloureuse. À vous, chers amis, toute notre sympathie. Peut-être pourriez-vous dire que vos plans sont contrariés, que Dieu “a barré votre chemin avec des pierres de taille”, qu’il “a bouleversé vos sentiers” (Lamentations de Jérémie 3. 9). Quelques-uns d’entre vous sont peut-être atteints d’une maladie incurable ou d’une autre épreuve irréparable. Soyez consolés ; le texte que nous méditons est aussi pour chacun de vous. Qui est-ce qui vous séparerait de l’amour du Christ ? (voir Romains 8. 35). Ayez confiance, ne raisonnez pas sur les plans mystérieux de votre Dieu ; invoquez-le d’autant plus que vous êtes plus éprouvés. Il vous délivrera si cela est à propos et, de toute façon, il dirigera tout dans votre vie. Il vous conduira vers les plus hauts sommets, en rendant vos pieds “pareils à ceux des biches” (Habakuk 3. 19). Vous chanterez comme David : “La bonté de l’Éternel est de tout temps et à toujours sur ceux qui le craignent” (Psaume 103. 17), et comme “l’homme qui a vu l’affliction” : “L’Éternel est bon pour ceux qui s’attendent à lui, pour l’âme qui le cherche. C’est une chose bonne qu’on attende, et dans le silence, le salut de l’Éternel. Il est bon à l’homme de porter le joug dans sa jeunesse” (Lamentations de Jérémie 3. 1, 25-27).
 Et à celui qui s’est peut-être égaré pour n’avoir pas suivi le conseil de la Sagesse, je dirai : Cher ami, ne persévère pas dans une mauvaise voie. Le Seigneur qui t’aime t’invite à revenir : “Reviens à l’Éternel, ton Dieu, car tu es tombé par ton iniquité… revenez à l’Éternel ; dites-lui : Pardonne… car, auprès de toi, l’orphelin trouve la miséricorde” (Osée 14. 2-4). Confions-nous en Lui d’autant plus que nous avons vu notre folie ; suivons-le désormais en tout : il dirigera notre vie.
 Celui qui réclame la confiance de tout notre cœur, qui nous avertit de l’insuffisance de notre intelligence, qui nous invite à nous soumettre à lui, qui nous promet de tout diriger, n’est-il pas Celui qui nous aime d’un amour éternel, Celui qui a souffert pour nous la mort affreuse de la croix et l’abandon de Dieu ? Et nous n’aurions pas confiance en lui pour les quelques heures qui nous séparent peut-être de son retour, alors que nous professons croire en lui pour la vie éternelle ? Non, cela serait anormal et injuste de notre part.
 Nous croyons en toi, Seigneur ! Viens en aide à notre incrédulité.

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

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