À CAUSE DES ANGES…

À cause des anges
L’apôtre Paul dit que “la sagesse si variée de Dieu a été maintenant donnée à connaître aux pouvoirs et aux autorités qui sont dans les lieux célestes, par le moyen de l’assemblée” (Éphésiens 3. 10). Ces pouvoirs et ces autorités sont les anges de Dieu (voir Colossiens 1. 16 ; 1 Pierre 3. 22). L’apôtre Pierre parle aussi des anges qui “désirent regarder de près” ces choses (1 Pierre 1. 12). Captivés par ce que Dieu accomplit dans l’Église, ils voudraient en voir davantage pour admirer la sagesse de Dieu. Ils voient d’anciens ennemis de Dieu qui l’adorent maintenant, parce qu’ils ont été pardonnés et rachetés. Ils voient des ennemis réconciliés en Christ, les Juifs et les gens des nations adorant dans l’unité, comme “membres les uns des autres” (voir Éphésiens 3. 5, 6 ; Romains 12. 5). Ils voient les hommes et les femmes adorant ensemble comme des égaux. “Il n’y a ni Juif, ni Grec ; il n’y a ni esclave, ni homme libre ; il n’y a ni homme, ni femme : car vous tous, vous êtes un dans le Christ Jésus” (Galates 3. 28).
 En se couvrant la tête lorsqu’elles prient ou prophétisent d’une façon visible ou audible, même par les anges, les femmes chrétiennes manifestent publiquement que leur position sur la terre comme femmes est celle de rachetées du Seigneur. Elles ne sont plus en guerre, aspirant à une position d’autorité sur l’homme. Au lieu de cela, elles sont satisfaites du rôle que Dieu a décrété pour elles en Genèse 2 lorsqu’il a créé la femme à partir de l’homme. De même, les hommes, en se découvrant la tête, font savoir qu’ils sont prêts à exercer l’autorité comme Dieu le leur demande, non comme des dominateurs abusant de leur position (Genèse 3. 16), et n’étant pas non plus passifs comme l’a été Adam face à Ève. Leur position sur la terre comme hommes est aussi celle de rachetés du Seigneur.

2 Corinthiens 5 (BYM)

  1. C’est donc en faveur du Mashiah que nous sommes ambassadeurs, comme Elohîm appelle par notre moyen : nous supplions en faveur du Mashiah : Soyez réconciliés avec Elohîm !

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